La démographie médicale en particulier dans la
FPH pose le problème à court terme de l’accès aux soins. Elle nécessite
d’accentuer la réflexion autour des professions intermédiaires, des
coopérations entre professionnels, des pratiques avancées.
Le développement des alternatives à l’hospitalisation, des maisons de santé, des nouvelles technologies impactera la manière de travailler. Elle devra être beaucoup plus collective et générera un principe de subsidiarité. Ce qui inévitablement pose la question de la formation et de la répartition des compétences.
Les évolutions professionnelles
La linéarité des carrières laisse aujourd’hui pour certains peu d’espace évolutif. L’ouverture de perspectives d’évolution vers de meilleures conditions de redéploiement professionnel, voire d’un changement d’orientation, s’impose dans un espace en mutation. Un socle de compétences communes et transférables apparaît nécessaire et doit être trouvé. Cela permettrait l’officialisation de passerelles pendant la formation et permettrait après formation, dans le cadre d’une réorientation en suivant un cursus type VAE et autres, de dispenses sur les métiers socles sanitaires, sociaux et médico-sociaux.
Sur la problématique de recherche, le choix ne doit pas se porter uniquement sur un métier socle comme d’aucuns le réclament, car ce serait trop cloisonnant. Par définition, la recherche universitaire est pluri-professionnelle.
Le cloisonnement des métiers est révolu et la formation en tuyau d’orgue montre aujourd’hui ses limites. Les différents points développés ci-dessus montrent combien il est nécessaire pour l’ensemble des métiers du sanitaire, du social et du médico- social d’avancer de manière transversale avec à la base un socle commun de formation.
La réflexion autour de la licence santé devra prendre en considération tous ces éléments pour en dessiner clairement les contours.
Le développement des alternatives à l’hospitalisation, des maisons de santé, des nouvelles technologies impactera la manière de travailler. Elle devra être beaucoup plus collective et générera un principe de subsidiarité. Ce qui inévitablement pose la question de la formation et de la répartition des compétences.
Les évolutions professionnelles
La linéarité des carrières laisse aujourd’hui pour certains peu d’espace évolutif. L’ouverture de perspectives d’évolution vers de meilleures conditions de redéploiement professionnel, voire d’un changement d’orientation, s’impose dans un espace en mutation. Un socle de compétences communes et transférables apparaît nécessaire et doit être trouvé. Cela permettrait l’officialisation de passerelles pendant la formation et permettrait après formation, dans le cadre d’une réorientation en suivant un cursus type VAE et autres, de dispenses sur les métiers socles sanitaires, sociaux et médico-sociaux.
Sur la problématique de recherche, le choix ne doit pas se porter uniquement sur un métier socle comme d’aucuns le réclament, car ce serait trop cloisonnant. Par définition, la recherche universitaire est pluri-professionnelle.
Le cloisonnement des métiers est révolu et la formation en tuyau d’orgue montre aujourd’hui ses limites. Les différents points développés ci-dessus montrent combien il est nécessaire pour l’ensemble des métiers du sanitaire, du social et du médico- social d’avancer de manière transversale avec à la base un socle commun de formation.
La réflexion autour de la licence santé devra prendre en considération tous ces éléments pour en dessiner clairement les contours.
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