Les professions paramédicales concernées sont
entre autres : Aide-soignant, auxiliaire de puériculture, diététicien,
épithésiste, ergothérapeute, infirmier (D.E) dont infirmiers
spécialisés, manipulateur d’électroradiologie médicale,
masseur-kinésithérapeute, orthophoniste, pédicure-podologue,
podo-orthésiste, préparateur en pharmacie, psychomotricien, sage-femme,
technicien de laboratoire médical.
L’instauration de l’obligation de DPC pour les professionnels de santé.
Un parcours triennal de DPC est demandé.
Une agence et des commissions.
- L’Agence nationale du DPC pilote le dispositif de DPC pour tous les professionnels de santé (stratégie, enregistrement des organismes formateurs et évaluation des actions de DPC) ;
- Des commissions scientifiques indépendantes (CSI) chargées d’évaluer le bienfondé pédagogique et scientifique des actions de DPC proposées ;
- Des conseils nationaux professionnels (CNP) qui déterminent les orientations nationales prioritaires de DPC pour leurs professions et spécialités respectives.
Des points de divergences entre la CFDT et le ministère de la Santé sur :
- La composition des conseils nationaux professionnels (CNP) qui est essentiellement corporatiste. Il leur manque la transversalité que nous portons, garante de l’intérêt général des professions ;
- Le financement du DPC des salariés, qui n’est pas garanti ;
- Le contrôle des actions de formations des salariés, pour ceux qui en relèvent, est délégué aux instances ordinales, bien que nous nous y soyons fermement opposés.
Une précaution. Chaque salarié est invité à formuler annuellement auprès de sa direction une demande écrite de DPC (remise en main propre contre décharge) et à conserver la réponse, surtout si c’est un refus.
Une victoire CFDT ! Dans le cadre de la mise à jour des axes prioritaires triennaux 2016-2018, par sa persévérance, la CFDT est parvenue à faire intégrer l’item « Qualité de Vie au Travail » dans les axes prioritaires de formations.
L’instauration de l’obligation de DPC pour les professionnels de santé.
Un parcours triennal de DPC est demandé.
Une agence et des commissions.
- L’Agence nationale du DPC pilote le dispositif de DPC pour tous les professionnels de santé (stratégie, enregistrement des organismes formateurs et évaluation des actions de DPC) ;
- Des commissions scientifiques indépendantes (CSI) chargées d’évaluer le bienfondé pédagogique et scientifique des actions de DPC proposées ;
- Des conseils nationaux professionnels (CNP) qui déterminent les orientations nationales prioritaires de DPC pour leurs professions et spécialités respectives.
Des points de divergences entre la CFDT et le ministère de la Santé sur :
- La composition des conseils nationaux professionnels (CNP) qui est essentiellement corporatiste. Il leur manque la transversalité que nous portons, garante de l’intérêt général des professions ;
- Le financement du DPC des salariés, qui n’est pas garanti ;
- Le contrôle des actions de formations des salariés, pour ceux qui en relèvent, est délégué aux instances ordinales, bien que nous nous y soyons fermement opposés.
Une précaution. Chaque salarié est invité à formuler annuellement auprès de sa direction une demande écrite de DPC (remise en main propre contre décharge) et à conserver la réponse, surtout si c’est un refus.
Une victoire CFDT ! Dans le cadre de la mise à jour des axes prioritaires triennaux 2016-2018, par sa persévérance, la CFDT est parvenue à faire intégrer l’item « Qualité de Vie au Travail » dans les axes prioritaires de formations.
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