Cette séance a été ajournée faute de quorum, la
CFDT étant la seule organisation syndicale présente, les autres
syndicats ayant décidé de ne pas participer, pour manifester leur
mécontentement.
La CFDT santé-Sociaux critique également les insuffisances du dialogue social pratiqué par les pouvoirs publics, tout comme les autres organisations syndicales siégeant au Conseil supérieur. Elle partage aussi nombre des revendications qui les ont menées à ne pas siéger à cette 1ère séance. Pour la CFDT, il était cependant important de permettre l’installation du Conseil, conditionnant la mise en place des Commissions spécialisées issues du Conseil Supérieur.
Le Conseil supérieur sera reporté à une date ultérieure, qui sera communiquée sous huit jours. Ce report de l’installation effective du Conseil supérieur entraîne un décalage équivalent pour les commissions spécialisées du Conseil, bloquant d’autant l’examen des dossiers.
La CFDT santé-sociaux réitère son mécontentement face à l’immobilisme du gouvernement sur les dossiers concernant la fonction publique hospitalière et à son manque de volonté à faire vivre le dialogue social, l’absence de réunion du Conseil Supérieur depuis novembre 2014 en est l’illustration.
La CFDT santé sociaux attend donc du ministère des affaires sociales et de la santé des signes concrets et un engagement réel, permettant de relancer les négociations dans le cadre d’un dialogue social de qualité.
La CFDT santé-Sociaux critique également les insuffisances du dialogue social pratiqué par les pouvoirs publics, tout comme les autres organisations syndicales siégeant au Conseil supérieur. Elle partage aussi nombre des revendications qui les ont menées à ne pas siéger à cette 1ère séance. Pour la CFDT, il était cependant important de permettre l’installation du Conseil, conditionnant la mise en place des Commissions spécialisées issues du Conseil Supérieur.
Le Conseil supérieur sera reporté à une date ultérieure, qui sera communiquée sous huit jours. Ce report de l’installation effective du Conseil supérieur entraîne un décalage équivalent pour les commissions spécialisées du Conseil, bloquant d’autant l’examen des dossiers.
La CFDT santé-sociaux réitère son mécontentement face à l’immobilisme du gouvernement sur les dossiers concernant la fonction publique hospitalière et à son manque de volonté à faire vivre le dialogue social, l’absence de réunion du Conseil Supérieur depuis novembre 2014 en est l’illustration.
La CFDT santé sociaux attend donc du ministère des affaires sociales et de la santé des signes concrets et un engagement réel, permettant de relancer les négociations dans le cadre d’un dialogue social de qualité.
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