L’intersyndicale, qui depuis près de 10 ans
s’oppose à cet ordre, analyse cette décision comme un soutien d’élites
envers l’ordre et un refus d’écoute de la majorité des
professionnel-les.
Une immense majorité s’oppose à l’existence d’un ordre professionnel, alors que les lobbies qui y sont favorables ne représentent qu’une minorité d’infirmiers (ères) dont certains ne sont même plus en exercice.
Il y a en France 620 000 infirmier(e)s en activité. L’ordre national infirmier revendique, sans en faire la preuve, 170 000 adhérents, mais parmi ceux-ci nous dénonçons que nombre d’entre eux l’ont été contraints.
La démocratie du nombre doit être plus forte que les lobbyings ! 9 ans après sa création, 450 000 infirmier-es demeurent non adhérents à l’ordre, parce qu’ils et elles n’en veulent pas !
Ils et elles doivent être entendu-es.
Nous continuons de demander à la Ministre de la santé, au Premier ministre et au Président de la République, aux députés et sénateurs d’abroger l’ordre infirmier et de réintégrer les missions données à cet ordre au sein de la sphère publique de l’État.
Une immense majorité s’oppose à l’existence d’un ordre professionnel, alors que les lobbies qui y sont favorables ne représentent qu’une minorité d’infirmiers (ères) dont certains ne sont même plus en exercice.
Il y a en France 620 000 infirmier(e)s en activité. L’ordre national infirmier revendique, sans en faire la preuve, 170 000 adhérents, mais parmi ceux-ci nous dénonçons que nombre d’entre eux l’ont été contraints.
La démocratie du nombre doit être plus forte que les lobbyings ! 9 ans après sa création, 450 000 infirmier-es demeurent non adhérents à l’ordre, parce qu’ils et elles n’en veulent pas !
Ils et elles doivent être entendu-es.
Nous continuons de demander à la Ministre de la santé, au Premier ministre et au Président de la République, aux députés et sénateurs d’abroger l’ordre infirmier et de réintégrer les missions données à cet ordre au sein de la sphère publique de l’État.
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