Les organisations syndicales signataires de ce document tiennent à préciser leur attachement à la création d'une filière médicale dans la Fonction publique hospitalière (FPH).
Afin de donner la visibilité nécessaire aux
sages-femmes des hôpitaux, seule profession médicale non reconnue de
cette fonction publique, il est grand temps de créer une filière
spécifique MÉDICALE sous la dépendance hiérarchique institutionnelle des affaires médicales.
Afin de leur assurer leur indépendance professionnelle dans le cadre légal qui est le leur, nous demandons la création d'unités de prise en charge de la physiologie tant dans le domaine de l'obstétrique que dans la surveillance gynécologique de prévention et la contraception.
Nous demandons que des sages femmes soient les responsables médicaux de ces unités comme la loi le permet.
Nous considérons que le premier recours dans les hôpitaux ne peut se formaliser autrement.
Nous demandons que l'ensemble des actes effectués par les sages femmes soit rendu visible par l'accès à la CCAM par les sages femmes.
Nous réclamons des revalorisations salariales à la hauteur des qualifications et des responsabilités de ces professionnels et pour cela, nous renouvelons notre demande forte d'ouverture de négociations salariales avant même la refonte statutaire.
Nos propositions sont de nature à satisfaire la colère des sages femmes des hôpitaux qui souffrent de ce manque de reconnaissance.
Nos propositions sont de nature à mieux prendre en charge les grossesses à faible risque par des professionnels dont c'est le métier et par conséquent, d'améliorer les indicateurs de santé publique dans ce domaine.
Nos propositions vont dans le sens du rapport de la Cour des comptes qui pointe, depuis 2011, la sous-utilisation des sages-femmes dans la périnatalité.
Afin de leur assurer leur indépendance professionnelle dans le cadre légal qui est le leur, nous demandons la création d'unités de prise en charge de la physiologie tant dans le domaine de l'obstétrique que dans la surveillance gynécologique de prévention et la contraception.
Nous demandons que des sages femmes soient les responsables médicaux de ces unités comme la loi le permet.
Nous considérons que le premier recours dans les hôpitaux ne peut se formaliser autrement.
Nous demandons que l'ensemble des actes effectués par les sages femmes soit rendu visible par l'accès à la CCAM par les sages femmes.
Nous réclamons des revalorisations salariales à la hauteur des qualifications et des responsabilités de ces professionnels et pour cela, nous renouvelons notre demande forte d'ouverture de négociations salariales avant même la refonte statutaire.
Nos propositions sont de nature à satisfaire la colère des sages femmes des hôpitaux qui souffrent de ce manque de reconnaissance.
Nos propositions sont de nature à mieux prendre en charge les grossesses à faible risque par des professionnels dont c'est le métier et par conséquent, d'améliorer les indicateurs de santé publique dans ce domaine.
Nos propositions vont dans le sens du rapport de la Cour des comptes qui pointe, depuis 2011, la sous-utilisation des sages-femmes dans la périnatalité.
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