La santé environnementale doit s'inscrire dans
une approche transversale. Dans ce cadre, la notion « d'exposome » (les
évolutions de la biologie qui s’intéressent de plus en plus aux
relations causales entre maladies et facteurs d’environnement avec
évaluation des niveaux d’exposition et, si possible, des doses) sera
intégrée dans la future loi de Santé.
Les mesures qui ne figureront pas dans la loi seront intégrées au projet de loi sur la biodiversité. Pour mieux prendre en compte les enjeux de santé environnement, une meilleure "cohérence dans l'articulation des plans" (santé, cancer, alimentation...), sera recherchée. Une mesure qui fait partie de l'objectif n°1, à savoir améliorer la prise en compte des enjeux de santé environnement dans les politiques publiques.
Autre point qui a fait consensus, "la nécessité d'intégrer à la formation et à l'éducation, l’environnement-santé ". Dans ce cadre, il est notamment proposé que les formations des différentes professions intervenant "dans des domaines structurants en matière de santé et environnement", comme les professions médicales, intègrent cette problématique.
La CFDT santé sociaux se réjouit de la prise en compte de l’environnement dans ce futur projet. Elle ne comprend pas que la nécessité d’intégrer à la formation soit aussi restrictive et ne concerne que les médecins. Un enjeu aussi important mérite la sensibilisation de tous les acteurs hospitaliers, outre les médecins, les professionnels paramédicaux.
Pour notre organisation, toutes les formations initiales des professionnels de santé doivent comporter un volet environnement-santé.
Les mesures qui ne figureront pas dans la loi seront intégrées au projet de loi sur la biodiversité. Pour mieux prendre en compte les enjeux de santé environnement, une meilleure "cohérence dans l'articulation des plans" (santé, cancer, alimentation...), sera recherchée. Une mesure qui fait partie de l'objectif n°1, à savoir améliorer la prise en compte des enjeux de santé environnement dans les politiques publiques.
Autre point qui a fait consensus, "la nécessité d'intégrer à la formation et à l'éducation, l’environnement-santé ". Dans ce cadre, il est notamment proposé que les formations des différentes professions intervenant "dans des domaines structurants en matière de santé et environnement", comme les professions médicales, intègrent cette problématique.
La CFDT santé sociaux se réjouit de la prise en compte de l’environnement dans ce futur projet. Elle ne comprend pas que la nécessité d’intégrer à la formation soit aussi restrictive et ne concerne que les médecins. Un enjeu aussi important mérite la sensibilisation de tous les acteurs hospitaliers, outre les médecins, les professionnels paramédicaux.
Pour notre organisation, toutes les formations initiales des professionnels de santé doivent comporter un volet environnement-santé.
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