Le référentiel de formation doit garantir :
- Une réelle entrée dans le L, M, D avec une universitarisation à l’instar des autres pays européens et une formation de 5 années reconnues.
- La cohérence du cursus de formation intégrant véritablement le L1 en tant qu’année de formation à hauteur de 60 ECTS.
- Une reconnaissance nécessaire pour les masseurs kinésithérapeutes souhaitant reprendre un cursus universitaire, comme le proposait la lettre de cadrage.
- Une parité de contenu et de durée sur les matières transversales aux masseurs kinésithérapeutes et ostéopathes, afin de faciliter dispenses, allègements et passerelles.
- La suppression du concours PCB (physique, chimie, biologie), sans possibilité de prolongation de la dérogation après 2017.
- La conception d’une véritable maquette universitaire, sans perte des acquis scientifiques nécessaires à la profession, reconnaissant et identifiant clairement les domaines d’expertise actuels et en construction, notamment en recherche, santé publique, pratiques professionnelles, formation et réflexivité.
- La création d’un clinicat de 6 mois permettant la rédaction d’un véritable mémoire de recherche pouvant favoriser l’attractivité des structures tant publiques que privées où les professionnels l’exerceront.
- L’attribution d’un grade universitaire afin de favoriser la poursuite d’étude pour ceux qui le souhaitent
Nous refusons l’acheminement vers un référentiel de niveau III avec un hypothétique grade licence après 5 ans d’études (1 an de prépa et 4 ans de formation).
Pour nous, le référentiel de formation proposé est en inadéquation avec les activités et compétences développées initialement dans le projet commun de la profession.
Les organisations syndicales représentatives et organisations professionnelles libérales sont comptables des décisions qui engageront l’avenir de la profession.
- Une réelle entrée dans le L, M, D avec une universitarisation à l’instar des autres pays européens et une formation de 5 années reconnues.
- La cohérence du cursus de formation intégrant véritablement le L1 en tant qu’année de formation à hauteur de 60 ECTS.
- Une reconnaissance nécessaire pour les masseurs kinésithérapeutes souhaitant reprendre un cursus universitaire, comme le proposait la lettre de cadrage.
- Une parité de contenu et de durée sur les matières transversales aux masseurs kinésithérapeutes et ostéopathes, afin de faciliter dispenses, allègements et passerelles.
- La suppression du concours PCB (physique, chimie, biologie), sans possibilité de prolongation de la dérogation après 2017.
- La conception d’une véritable maquette universitaire, sans perte des acquis scientifiques nécessaires à la profession, reconnaissant et identifiant clairement les domaines d’expertise actuels et en construction, notamment en recherche, santé publique, pratiques professionnelles, formation et réflexivité.
- La création d’un clinicat de 6 mois permettant la rédaction d’un véritable mémoire de recherche pouvant favoriser l’attractivité des structures tant publiques que privées où les professionnels l’exerceront.
- L’attribution d’un grade universitaire afin de favoriser la poursuite d’étude pour ceux qui le souhaitent
Nous refusons l’acheminement vers un référentiel de niveau III avec un hypothétique grade licence après 5 ans d’études (1 an de prépa et 4 ans de formation).
Pour nous, le référentiel de formation proposé est en inadéquation avec les activités et compétences développées initialement dans le projet commun de la profession.
Les organisations syndicales représentatives et organisations professionnelles libérales sont comptables des décisions qui engageront l’avenir de la profession.
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