- Reconnaissance en grade MASTER plein et entier ;
- Sélection universitaire par PACES, L1 STAPS ou, par dérogation, par une année commune, selon le choix de l’IFMK.
- Développement des compétences indispensables dans le domaine du handicap et faire face aux enjeux de santé à venir
- Prise en compte du réel niveau de la formation scientifique, de responsabilité et d’autonomie professionnelle.
- Etude de la mise en place potentielle d’un clinicat pour permettre aux masseurs kinésithérapeutes de développer des expertises et la recherche tout en s’intégrant dans le milieu professionnel.
- Reconnaissance de la capacité de recherche des Masseurs kinésithérapeutes.
- Négocier des délégations d’actes médicaux vers les masseurs kinésithérapeutes et la première intention pour certaines prises en charge.
- Prendre en compte le contexte évolutif de la profession et les avancées technologiques
- Améliorer l’attractivité et la fidélisation des professionnels par une politique nationale volontariste.
- Engager, au terme de la réingénierie, une revendication de grille en rapport avec le niveau de formation et les responsabilités du métier pour les reclasser, comme c’était le cas autrefois, sur des grilles d’infirmiers spécialisés.
La reconnaissance d’une année de formation - sélection universitaire par la PACES, le L1 STAPS, ou à titre dérogatoire par une année universitaire commune pour :
- Mutualiser la première année universitaire permettant l’acquis d’un socle scientifique de haut niveau comme c’est le cas depuis nombre années pour 2/3 des IFMK.
- Diminution de de trop grandes disparités d’accès à la formation entre régions.
- Meilleur encadrement les droits d’inscription des étudiants.
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